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Dans le regard de Fred
20 janvier 2022

Le Jeu de la Provocation partie 4 Finale

PROVOC FINAL

 

Dès que nous arrivons sur le parking de l’asiatique, je retire ma main pour la porter à ma bouche, mais c’est Audrey qui la lèche, avec indécence, me regardant avec insistance. Encore une fois, cette attitude me fait littéralement bander.

Le restaurant est fort sympathique, nous dégustons des mets divins nous offrant à chaque bouchée des orgasmes gustatifs, nos yeux ne se quittent pas. Ce ne sont plus les regards échangés durant nos réunions, ils sont plus intenses, plus prometteurs, laissant envisager un week-end remplit de vices et de plaisirs.

Parfois, j’attrape un nem dans mes baguettes, que je porte à sa bouche, Audrey, égale à elle-même, l’avale goulûment, simulant ma queue qui s’engouffre dans sa bouche, ce petit jeu me met en appétit sexuel.

Dès la fin du repas, une certaine impatience mutuelle nous gagne, me faisant régler la note, avant même d’avoir consommé le dessert.

Ma salope, reconnaît alors, dès notre entrée dans la voiture, son envie d’être possédée, tout en m’embrassant d’une façon animale, encore une attitude que je ne connaissais pas.

— Audrey, aurais-tu des envies ?

— Des tonnes, pas toi ?

— Si, allons à la plage. Déclarais-je, en ricanant.

Pendant notre escapade, Audrey devient sauvage, me caressant le torse sous mon polo, dérapant sur mon jean, ce qui réveille ma queue. Les derniers kilomètres, sont complexes, gérant entre la conduite et la bestialité de ma catin.

Dès que l’on pose nos pieds dans le sable, nous n’avons pas le temps d’aller jusque dans les rochers, nos bouches s’unissent, mes dents mordent ses lèvres. Cela semble l’exciter encore plus, mais quand j’ose lui tirer les cheveux, elle se transforme en chienne en chaleur, je ne la retiens plus.

Ma sauvage me retire mes vêtements, je me retrouve nu sur cette plage, à même pas vingt trois heures. Audrey, se déshabille à son tour, écartant les cuisses face à moi, me laissant observer sa chatte béante de mouille, m’appelant à la débauche.

Malgré tout, ma salope aime jouer, alors nous allons nous amuser ensemble.

— Aurais-tu l’envie que je te baise ? Lui rétorquais-je le sourire aux lèvres.

— Oui Dan, prend-moi, j’ai envie de ta queue en moi.

— Alors, demande-moi, non, supplie-moi.

— S’il te plait, je te veux en moi. Me dit-elle avant que je ne lui coupe la parole.

— Applique-toi, met y de la bonne volonté, mon sexe ne te fait pas envie ? La questionné-je en tenant mon membre bandant en main.

Audrey, me regarde alors que je me masturbe, se léchant les lèvres, elle m’émoustille, mais je veux faire durer le plaisir.

— Caresse-toi, je veux que tu mouilles, montre-moi la chienne en chaleur que tu es !

Mes propos la pousse à me provoquer, elle se met à parcourir son corps de ses mains, en commençant par sa poitrine, triturant ses tétons fièrement dressés, puis descend jusqu’à son ventre et son mont de vénus. Elle caresse son clitoris, prenant un doigt en bouche, qu’elle glisse ensuite dans sa fente béante, se doigtant avec indécence, son regard lubrique plongé dans le mien.

— Tourne-toi ! Lui commandé-je autoritairement, avant de reprendre. A quatre pattes, je vais te baiser.

Elle s’exécute, et je me retrouve derrière elle, tandis qu’elle m’offre son fessier si bandant.

 Une vue totalement improbable, avec en toile de fond la mer méditerranée, Van Gogh n’aurait pas fait mieux comme tableau.

Je l’attrape fermement par les hanches, présentant mon sexe à l’entrée de sa chatte. Vu son excitation, sa cyprine coulant entre ses cuisses, je m’introduis en elle, la pénétrant bestialement, sans ménagement, criant à chacun de mes à-coups.

Je tente d’y aller encore plus fort, et Audrey, me supplie de continuer, encore et encore, mes allers-retours en elle, semble lui donner un immense plaisir.

Lorsqu’elle n’en peut plus, je sens son corps frissonner, son bassin s’appuyant contre moi, elle désire ma queue encore plus profondément, je me retire, pour finir dans son anus qui me réclame son dû.

Quelques claques sur son fessier en la pénétrant, et ma chienne devient intenable, jouissant sans retenue, allant d’orgasme en orgasme, juste le temps de sortir de son petit trou pour éjaculer entre ses fesses, mon sperme coulant donne une touche encore plus artistique à ce cul déjà sublime.

Lorsque j’y repense, dix huit ans après, Audrey, est toujours aussi attirante. Elle est devenue ma femme, ma soumise, et cette initiation à la domination, restera ancrée au plus profond de mes entrailles toute ma vie.

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