Ma chronique deAbsolute Dévotion 1- La Bratva Petrov d'Iride Salvatore
Bonjour à toutes et tous, je viens ici même vous parler d’un livre aujourd’hui qui inaugure une nouvelle saga de cette Auteure, qu’humainement soyons clair, j’adore même si je dois vous l’avouer j’ai honte d’avoir attendu d’être partenaire avec elle pour enfin me plonger dans ses lignes.
Car OUI vous devez le savoir Iride Salvatore n’en est pas à son coup d’essai avec cette saga, étant donné que c’est sa troisième.
Je vais donc vous entretenir sur la saga : « Absolute Dévotion 1- La Bratva Petrov ».
« Les cartes sont souvent mal distribuées à la naissance. Celles d’Emy l’ont conduite à grandir dans une maison close, éduquée par un homme bien plus attiré par l’appât du gain que par son rôle de père. La majorité lui offre l’opportunité de changer les choses, de devenir qui elle veut, mais l’âge adulte place aussi sur sa route Alexeï, chef de la bratva Petrov. Déterminé à obtenir sa dévotion absolue pour servir sa cause, il ne lui fera aucun cadeau. Froid, distant et autoritaire, il n’hésitera pas à lui confier les missions les plus périlleuses. Sa vie n’a aucun intérêt pour lui, il compte bien s’en servir, quitte à la lui ôter définitivement.
Seulement, quand le destin, l’attirance, et la loi du talion s’en mêlent, les plans d’Alexeï risquent bien d’être mis à mal et de précipiter leur chute commune.
Extraits au hasard :
« Le médicament fait très vite effet et je flotte dans un état serein qui n’empêche pas qu’au fond de moi, j’ai conscience que tout cela n’est pas normal. Sergueï s’active et, à part les piqûres, je ne sens rien. Je le vois utiliser des gants stériles et des champs verts ainsi qu’une sorte de liquide violet qui, apparemment, permet de refermer la peau sans laisser de trace. Quand sa main gantée relève mon menton, le calmant m’a emportée très loin. Je suis là sans l’être et je dois avouer que c’est reposant. Il me redresse en me soulevant par le coude et nous rejoignons la cuisine. Petrov est de dos, occupé à admirer je ne sais quoi à travers la fenêtre, un verre à la main et l’autre dans sa poche de pantalon. »
« Je suis si chamboulée par tout ce qui vient de se passer que je ne sais pas qui je dois croire et puis, soudain, dans ma tête, un déclic a lieu. Petrov est mon patron. Son frère devait être mon geôlier. Leurs différends, leurs histoires ne me concernent en rien. Je tends ma main et Petrov me hisse sans jamais cesser de braquer son arme sur son frère. Arrivée en haut, je m’appuie sur la carrosserie pour m’asseoir sur cette dernière. Le spectacle qui s’offre à moi est hallucinant. Cinq véhicules blindés forment un demi-cercle devant la voiture retournée. Des dizaines d’hommes, armes au poing, me tournant le dos, semblent attendre leurs ennemis. Sur la gauche, deux berlines noires, dont toutes les portes sont ouvertes, des hommes gisants au sol. À mes côtés, Petrov braque toujours son arme sur son frère, mais plus aucun mot n’est échangé entre eux. »
« Il se redresse, hoche la tête et s’avance vers moi d’un pas rapide, envahissant mon espace vital de son aura dangereuse, ne me permettant aucune échappatoire avec ce mur qui me retient. Sa bouche s’approche bien trop près de la mienne et sa main vient à la rencontre de ma joue. Ses yeux, d’une pâleur extrême d’ordinaire, se parent d’une chaleur que je ne comprends pas. Son souffle aux effluves de menthe et vodka titillent mes narines. Il me suffirait de m’avancer de quelques centimètres pour mettre mes lèvres au contact des siennes. Et, ce qui me terrifie, c’est que, pour la première fois depuis que je le connais, j’en ai envie. »
Il est temps pour Moi de me plonger dans ma lecture non sans avoir lu les avertissements de l’auteure, avant une citation assez parlante de cette femme de lettre qu’est « Marguerite Yourcenar ».
Dès le premier chapitre, je fait connaissance avec la narratrice et protagoniste de l’histoire en l’occurrence « Emy », qui vit au « Lioness Loundge » une maison close tenu par son père a New York.
Dans les premières pages, l’auteure nous plante le décor de l’histoire qui semble-t-il va être assez sombre et j’avoue que j’ai très hâte d’en découvrir plus de cette œuvre et de la plume d’« Iride Salvatore »…
Je dois l’avouer mais j’adore la narratrice et protagoniste de l’histoire, « Emy » a un caractère bien trempée, elle ne se laisse pas faire ( enfin sauf lorsque son père utilise la violence ), et franchement j’aime se genre de fille avec un réel vrai caractère
Petite note à l’auteure: Sache Iride que j’ai un point commun avec la narratrice de l’histoire en l’occurrence « Emy », voici le propos en question avec l’extrait qui suit pour mieux comprendre. D’ailleurs petite précision: Les miens sont pour la majeure partie dédicacés par les auteurs.
« La dernière fois, j’ai retrouvé Shanyss en train de corner les pages d’un de mes coups de cœur, j’ai failli l’étrangler sur place »
Il y a quelque chose que j’apprécie énormément dans la plume de l’auteure, en l’occurrence ses nombreuses descriptions que ce soit des personnes ou des lieux, je trouve que ça n’alourdis pas l’histoire et ça me permet en tant que lecteur de m’immerger encore plus dans l’histoire qui d’ailleurs est écrite à la première personne pour information.
Entre « Petrov » et « Emy », c’est exactement tout feu tout flamme. Et le voyage en Russie risque d’être finalement un moment clé de l’histoire, évidemment je ne m’arrête pas dans ma lecture et je n’en dirais plus de ce moment de l’histoire pour ne rien spoiler de cette œuvre. En tout cas sachez que j’adore la plume d’Iride et je regrette tellement de n’avoir pas eu encore le temps de la lire dans ses deux autres sagas, surtout celle des bikers car vous n’êtes pas sans savoir que j’adore les motards.
A son retour de Russie, pour ainsi dire sans trop en dévoiler tout s’enchaîne autant du bon ( très Bon même ) que du mauvais MAIS pour en savoir plus je vous invite à lire « Absolute Dévotion Tome 1 La Bratva Petrov » de Iride Salvatore…
Nouvelle note à l’auteure: je confirme complètement les propos de la narratrice en l’occurrence « Emy » lorsqu’elle seule dans son nouvel appartement elle pense :
« C’est étrange d’avoir tant souhaité une chose et lorsqu’elle arrive enfin se mettre à douter du bien fondé de sa réalisation. »
Certes dans d’autres situations MAIS j’ai déjà pensé cela je dois l’avouer.
Lorsque s’impose dans l’histoire une scène charnelle, l’auteure nous conte cela de façon sobre, rien de hard dans la description, aucun mot cru, et pourtant celle-ci reste très explicite.
Nous approchons de la fin de ce premier tome et un nouveau protagoniste prends la narration, en l’occurrence « Alexeï », et c’est purement incroyable les révélations qu’il offre au lecteur que je suis. Je dois avouer que j’ai maintenant hâte de me plonger dans le tome 2. J’ai adoré ma découverte de la plume TRÈS talentueuse d’Iride Salvatore et je dois IMPÉRATIVEMENT prendre le temps de lire ses autres sagas.
En tout cas Iride, tu as réussis haut la main l’aventure de l’auto-édition pour reprendre tes termes des « Remerciements ».